© Matthieu Haberard / Alexandre Lapostolle
Petite récap' personnelle de la nuit # 2 du festival La Petite invite # Worldwide Festival, qui se déroule à Toulouse jusqu'à ce dimanche. Arrivée au Bikini sur les coups de minuit et nouveau rendez-vous manqué avec le Toulousain de l'étape Chicky Boom... Dommage car nous avons eu de bons échos de sa prestation : la prochaine fois, ce sera la bonne !
Nous prenons le set du mystérieux Joy Orbison en cours. Mystérieux car il cultive le mythe qui l'entoure en se rendant très peu visible, n'acceptant que très rarement d'être pris en photo. Mais peut-être était-ce ce soir-là à cause de son pullover... Quoi qu'il en soit, aucune faute de goût dans son set, solaire et groovy. On a même été surpris d'y entendre autant de morceaux vocaux.
Le relais est pris par Pearson Sound aka Ramadanman, qui commence son set comme on s'y attendait, jouant des tracks très hypnotiques. Le public est aux anges car il a ce qu'il voulait ! Puis ce petit génie le prend à rebours en jouant des morceaux world, notamment brésiliens, et des classiques UK garage plutôt happy, n'hésitant pas à dérouter une partie du public avec des tracks aux vocaux R'n'B. Il fallait oser mais Pearson Sound a déjà l'expérience nécessaire pour jouer avec la curiosité de la salle, qui, une fois les bières avalées dans l'intervalle, revient se trémousser sur la piste quand Ramadanman relance avec des tracks plus axés bass music. On a même droit à de la Bmore Club et je vous prie de croire que je n'étais pas le dernier à trépigner de plaisir, notamment sur le Night Slugs Bring In The Katz par KW Griff.
Enfin, Agoria a pour mission d'achever les danceurs. On ne vous cache pas qu'on était moins intéressés par son set, qui commence mal, avec un track fleurant la dance music... Puis la machine se met en route et on se laisse prendre par quelques tracks house efficaces sans atteindre toutefois l'extase ressentie sous le gourou Ramadanman.
De retour au logis bien épuisés, nous dormons littéralement debout rêvant déjà à la Nuit #4 qui s'annonce elle aussi grandiose...
Nous prenons le set du mystérieux Joy Orbison en cours. Mystérieux car il cultive le mythe qui l'entoure en se rendant très peu visible, n'acceptant que très rarement d'être pris en photo. Mais peut-être était-ce ce soir-là à cause de son pullover... Quoi qu'il en soit, aucune faute de goût dans son set, solaire et groovy. On a même été surpris d'y entendre autant de morceaux vocaux.
Le relais est pris par Pearson Sound aka Ramadanman, qui commence son set comme on s'y attendait, jouant des tracks très hypnotiques. Le public est aux anges car il a ce qu'il voulait ! Puis ce petit génie le prend à rebours en jouant des morceaux world, notamment brésiliens, et des classiques UK garage plutôt happy, n'hésitant pas à dérouter une partie du public avec des tracks aux vocaux R'n'B. Il fallait oser mais Pearson Sound a déjà l'expérience nécessaire pour jouer avec la curiosité de la salle, qui, une fois les bières avalées dans l'intervalle, revient se trémousser sur la piste quand Ramadanman relance avec des tracks plus axés bass music. On a même droit à de la Bmore Club et je vous prie de croire que je n'étais pas le dernier à trépigner de plaisir, notamment sur le Night Slugs Bring In The Katz par KW Griff.
Enfin, Agoria a pour mission d'achever les danceurs. On ne vous cache pas qu'on était moins intéressés par son set, qui commence mal, avec un track fleurant la dance music... Puis la machine se met en route et on se laisse prendre par quelques tracks house efficaces sans atteindre toutefois l'extase ressentie sous le gourou Ramadanman.
De retour au logis bien épuisés, nous dormons littéralement debout rêvant déjà à la Nuit #4 qui s'annonce elle aussi grandiose...
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